jeudi 28 janvier 2010

Je vous invite à visiter le site internet de radio-canada et de visionner le reportage qui suit

http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2009-2010/Reportage.asp?idDoc=102339&autoPlay=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/CBFT/Enquete201001282000.asx, http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/CBFT/Enquete201001282016.asx, http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/CBFT/Enquete201001282028.asx

jeudi 21 janvier 2010

Journée nationale du drapeau québécois

Joliette, le mercredi 20 janvier 2010 – Dans le cadre de la journée nationale du drapeau le 21 janvier 2010, le député de Joliette et leader parlementaire du Bloc Québécois à la Chambre des communes, Pierre Paquette est fier de souligner le 62e anniversaire du fleurdelisé, emblème des Québécoises et des Québécois.

Cette journée nationale du drapeau est une occasion pour chacune et chacun d’entres nous de se rappeler qui nous sommes. C’est le 21 janvier 1948 que le Québec s’est identifié, par le biais d’un drapeau, comme un peuple fier, un peuple distinct. Le sentiment d’appartenance à sa patrie et l’attachement à sa culture ont depuis, émergé au sein de la société québécoise.

« Je suis fier de souligner aujourd’hui la journée nationale du drapeau québécois qui est devenu, par le fait même, un emblème national qui nous définit en tant que société, en tant que Nation et je l’espère nous définira très bientôt en tant que pays souverain. Seul un Québec souverain pourra avoir la marge de manoeuvre politique et financière pour établir des politiques cohérentes là où, actuellement, les initiatives québécoises sont souvent contrecarrées. Stephen Harper nous l’a d’ailleurs encore une fois démontré le 19 janvier en nommant Christian Paradis, le lieutenant politique du Québec, ministre des Ressources naturelles. Christian Paradis défendra donc la position favorable du Canada envers les sables bitumineux alors que le Québec a fortement dénoncé à Copenhague les choix du gouvernement fédéral en matière d’environnement! Où est la logique? », s’est questionné le député de Joliette, Pierre Paquette.

« Le Québec a des atouts qui ne peuvent véritablement se concrétiser qu’avec sa pleine souveraineté », a conclu Pierre Paquette, député de Joliette et leader parlementaire du Bloc Québécois.

Entrevue complète à Maisonneuve en direct - 5 janvier 2010

Maisonneuve : Pierre Paquette bonjour.

Pierre Paquette : Bonjour monsieur Maisonneuve

Maisonneuve : Monsieur Paquette, même pour vous c’est un peu la même question. Stephen Harper avait le droit légal de poser ce geste, de mettre un terme à la session.

Pierre Paquette : Oui, en termes de procédure il n’y a aucun problème. La question c’est que c’est la 3e fois en l’espace de 2 ans que le premier ministre Harper, les conservateurs,…

Maisonneuve : J’avais en mémoire l’an dernier quand il y a eu la coalition.

Pierre Paquette : L’année dernière il y a eu prorogation pour éviter un vote de confiance, mais rappelez-vous qu’à l’automne 2008 monsieur Harper a déclenché des élections malgré sa promesse…

Maisonneuve : Et malgré la loi.

Pierre Paquette : Et malgré la loi qu’il avait lui-même proposée. Et donc, cela fait 3 fois en l’espace de deux ans que le premier ministre conservateur utilise des trucs tout à fait légaux, mais à des fins strictement partisanes pour éviter de répondre aux questions de l’opposition et de la population canadienne et québécoise et ça c’est antidémocratique et je pense que c’est dans ce sens-là totalement illégitime comme décision de la part du premier ministre conservateur.

Maisonneuve : Le premier ministre Stephen Harper disait hier : nous avons pris des décisions importantes dans cette session en 2009, maintenant il est temps de passer à autre chose, il y a d’autres décisions importantes, on va revoir tout notre menu législatif et il y aura un budget. Autrement dit, est-ce que ce qui est le plus important c’est de voir venir vers ce budget là?

Pierre Paquette : Oui, mais le budget, ça ne nécessitait pas de prorogation. Il était déjà prévu. On ne savait pas exactement la date, mais habituellement c’est en février. Ça aurait pu être avant ou après le Jeux-Olympiques. Donc on n’avait pas besoin de proroger pour avoir de nouvelles priorités au plan économique. Par contre, je constate que la moitié des projets de loi qui ont été déposés par le gouvernement au cours de la dernière année n’ont pas été débattus en chambre et donc la moitié de l’agenda parlementaire du gouvernement est mort au feuilleton par une décision du gouvernement et du premier ministre. Ça, c’est complètement contraire à la logique. Je vous rappelle que les projets de loi en justice ils en ont déposé une vingtaine. Il y en a seulement 2 qui ont été adoptés. Donc ça veut dire qu’il y en a eu autour de 15 à 18, si ma mémoire est bonne, qui n’ont pas passé au travers le processus parlementaire. Il y en a plusieurs qui n’ont jamais été même appelés par le gouvernement pour être débattus en chambre, je pense, par exemple, aux crimes économiques. Monsieur Van Loan a fait un gros show médiatique avec ça, mais ils ne l’ont jamais amené pour…

Maisonneuve : Mais monsieur Paquette, ce qu’on nous dit, bien sûr ça peut faire disparaitre les projets de loi, mais en revenant en mars ça peut les ramener si vous acceptez qu’on les ramène dans l’état où ils étaient. S’ils étaient en deuxième lecture, on les recommence en deuxième lecture.

Pierre Paquette : Alors ça évidemment c’est possible, mais encore une fois ça va être le fruit de la négociation. Il est bien clair que, pour nous, il y a des projets de loi qu’on ne veut pas voir revenir à l’agenda législatif. Je pense par exemple au projet de loi sur l’accord de libre-échange avec la Colombie. Pour nous il est totalement exclu que cela puisse faire partie d’une motion qui permettrait de ramener le projet de loi là ou il l’était. Par contre, sur d’autres projets de loi oui, si les partis d’opposition et le gouvernement s’entendent, mais c’est la responsabilité du gouvernement de dégager ce consensus-là. C’est un gouvernement minoritaire et il faut que monsieur Harper comprenne, une fois pour toutes, qu’il doit travailler et collaborer avec les partis d’opposition.

Maisonneuve : Mais est-ce que l’attitude des partis d’opposition ne fait pas dire à Stephen Harper qu’il est un gouvernement minoritaire, mais qu’il peut se comporter comme un gouvernement majoritaire? Parce qu’il y a quand même des annonces de la part de certains partis d’opposition à savoir qu’ils ne vont pas défaire le gouvernement de monsieur Harper.

Pierre Paquette : Mais là, dans ce sens-là, quand on parle effectivement de monsieur Ignatieff qui a déjà signé un chèque en blanc en disant qu’il n’allait pas défaire….

Maisonneuve : Mais il y a le NPD aussi qui avait sauvé le gouvernement.

Pierre Paquette : Moi je pense que l’attitude du Bloc est l’attitude la plus cohérente. Nous on regarde le projet de loi. Si le projet de loi est bon pour le Québec, bon pour la population, on vote pour. S’il est mauvais, on vote contre. Si cela amène des élections, c’est la responsabilité du premier ministre de ne pas avoir tenu compte du fait qu’il était minoritaire et je pense que la prorogation est tout simplement une tactique pour ne pas répondre aux questions du public concernant et la torture en Afghanistan et l’attitude de Harper à Copenhague et aussi un certain nombre de questions au plan économique, je pense à l’assurance emploi ou il y a eu aucune mesure qui a permis aux chômeurs du Québec d’avoir accès à plus de protection au plan économique.

Maisonneuve : Mais monsieur Paquette, quand Stephen Harper dit : écouter là, dans le radar de la population, les préoccupations ne sont pas nécessairement les prisonniers afghans ou autre chose, c’est les questions économiques et c’est dans ce domaine là que nous voulons agir.

Pierre Paquette : Oui, mais comme je vous mentionnais, il n’avait pas besoin de proroger la session. Pour ce qui est du budget, on aurait très bien pu avoir de nouvelles orientations. D’ailleurs, je pense en grande partie que c’est parce qu’il ne veut pas répondre aux questions, en particulier, du Bloc Québécois. Comme je vous mentionnais, sur l’assurance-emploi toutes les mesures qui ont été prises par le gouvernement bénéficient aux travailleurs de l’Ontario et de l’Ouest canadien, mais n’a aucun impact sur les chômeurs québécois. Même chose pour l’aide à l’industrie forestière, ça été complètement exclu par le gouvernement conservateur. Ce sont des questions sur lesquelles nous devrions avoir des réponses et le gouvernement a voulu gagner du temps. Il va arriver probablement avec un budget qui sera inacceptable pour l’opposition, va tenter un coup de force à nouveau. C’est un gouvernement qui est totalement déconnecté de la réalité.

Entrevue complète à Maisonneuve en direct - 5 janvier 2010

vendredi 8 janvier 2010

Cadeau du Jour de l'An


Stephen Harper vient de se faire un autre cadeau des Fêtes. On se rappellera que l'année dernière à la même époque craignant d'être défait par un vote de confiance Harper s'était rendu chez la gouverneure générale pour obtenir l'autorisation de proroger le parlement. Ce qui lui fut accordé. Il récidive cette année et ferme le parlement jusqu'au 3 mars.

Même si la prorogation en soi n'est pas illégale, son utilisation répétée fait naître un certain malaise pour ne pas dire un malaise certain surtout lorsque cette procédure est utilisée pour se dérober et se mettre à l'abri des interrogations légitimes des partis d'opposition dans une foule de dossiers. Notamment celui du transfert des détenus afghans et celui du comportement du Canada à Copenhague dans le dossier de l'Environnement, sans oublier l’absence de mesures de soutien pour l’industrie manufacturière et l’insuffisance des moyens pour venir en aide aux personnes en chômage.

Le Canada, en tant que signataire de la Convention de Genève, est tenu à certaines obligations envers les détenus qu'il transfère aux autorités afghanes. L'une de ces obligations est de s'assurer non seulement que ces prisonniers ne seront pas torturés, mais qu'il n'existe également aucun doute à ce sujet. On sait maintenant qu'il existe au moins un cas prouvé de détenu ainsi transféré par les forces armées canadiennes qui a été torturé. Mais le gouvernement a toujours nié être au courant de ce fait en dépit des preuves au contraire qui démontrent que le gouvernement canadien savait qu'il y avait des cas de tortures et qu'il n'a rien fait pour modifier les procédures de transfert comme l'oblige la Convention de Genève sur le traitement des prisonniers. Plutôt que de reconnaître les faits et la réalité, le gouvernement s'est empêtré dans des versions contradictoires et a nié qu'il ait transféré des détenus sachant qu'ils risquaient d'être torturés. Le gouvernement a tout fait pour bloquer les travaux du comité spécial sur l’Afghanistan. Même si le Parlement avait suspendu ses travaux pour la période des Fêtes rien n'empêchait le comité de continuer son travail, ce qu'il a pu faire jusqu'à ce que la prorogation arrive. Comme l'affirme le guide de procédure parlementaire – la prorogation d’une session met fin à tous les travaux du Parlement. Sauf quelques exceptions, les affaires non complétées expirent au Feuilleton et doivent être reprises du début à la prochaine session.

La prorogation aura également permis au gouvernement de se défiler quant à son triste et contestable bilan en matière d'Environnement et sa discutable performance au Sommet de Copenhague. Ce n'est que partie remise. L'environnement est une problématique qui est là pour rester et vouloir l'ignorer comme le fait le gouvernement Harper n'augure rien de bon pour l'avenir si ce gouvernement s'entête à nier l'évidence.

Sur ce plan économique, le Bloc Québécois se questionne sérieusement sur le pseudo-plan économique conservateur. Comment les conservateurs peuvent-ils laisser l’industrie forestière québécoise à elle-même en pleine crise alors qu’ils ont consenti plus de 10 milliards d’aide à l’industrie automobile concentrée en Ontario?

Non satisfait de la relâche parlementaire qui mettait en sourdine la voix de l'opposition, le gouvernement a choisi de la museler complètement en lui enlevant toute possibilité d'utiliser les outils parlementaires à sa disposition. À la réflexion, c'est un bien triste cadeau que s'est offert le gouvernement et ce faisant, il a démontré encore une fois non seulement son mépris des parlementaires, mais plus dramatique encore son mépris des institutions. Et dire que c'est ce même gouvernement qui accusait l'Opposition de ralentir les travaux de la Chambre!!! En choisissant la prorogation, c'est le gouvernement lui-même qui aura choisi d'allonger les délais en s'obligeant à tout reprendre à zéro lors de la rentrée du mois de mars. Plus cynique que ça tu meurs comme dit l'autre.

Difficile devant tant de cynisme de se souhaiter une bonne et heureuse année! Mais je le fais quand même parce que contre vents et marées je demeure un irréductible optimiste. Bonne Année 2010.




Pierre Paquette
Député de Joliette
Leader parlementaire du Bloc Québécois

mardi 5 janvier 2010

Bilan de la dernière session parlementaire à Ottawa

« LA DERNIÈRE SESSION A DÉMONTRÉ LE FOSSÉ DE PLUS EN PLUS GRAND QUI SÉPARE OTTAWA DES PRÉOCCUPATIONS DU QUÉBEC »
- Pierre Paquette

Ottawa, le mardi 22 décembre 2009 – « La dernière session parlementaire illustre de façon évidente le fossé de plus en plus grand qui sépare le Québec du gouvernement conservateur. Qu’on parle des travailleurs et des chômeurs, qui ont été abandonnés par Ottawa, du dossier du réchauffement climatique, où l’intérêt des Québécois a été sacrifié à celui des pétrolières, des cachotteries au sujet du sort des prisonniers afghans ou encore du registre des armes à feu que les conservateurs s’obstinent à vouloir démanteler, le gouvernement Harper a clairement agi à l’encontre des valeurs et de la volonté des Québécoises et des Québécois. Encore une fois, le Bloc Québécois a été le seul parti à Ottawa à défendre les intérêts du Québec », a constaté le leader parlementaire du Bloc Québécois, Pierre Paquette, en dressant le bilan de la dernière session parlementaire à Ottawa.

Les priorités du Québec ont pris le bord
« On retiendra de cette dernière session qu’encore une fois, les conservateurs et les autres partis ont ignoré toutes les décisions unanimes de l’Assemblée nationale. Des milliards de dollars ont été versés pour l’industrie de l’automobile concentrée en Ontario et des efforts considérables ont été réalisés pour favoriser l’industrie du pétrole de l’Alberta. Au même moment, l’industrie forestière québécoise, qui était en pleine crise, a été laissée à elle-même. Les conservateurs ont notamment voté contre le plan du Bloc Québécois pour aider les propriétaires de boisés privés très présents dans la région. Les travailleuses et les travailleurs du Québec subissent sans cesse les décisions ciblées du gouvernement Harper. Combien de fois le Bloc Québécois s’est levé en Chambre pour interpeller le gouvernement d’agir pour les travailleurs forestiers de St-Michel-des-Saints entre autres, ou plutôt, combien de fois les conservateurs, notamment québécois, ont fait la sourde oreille par simple désintérêt du Québec? », a enchaîné le leader parlementaire du Bloc Québécois et député de la circonscription de Joliette, Pierre Paquette.

« En plus, grâce à la complicité des libéraux, le gouvernement Harper a maintenu sa volonté de dépouiller le Québec de ses pouvoirs en matière de valeurs mobilières. Le gouvernement conservateur a aussi refusé de lui apporter une compensation pour l’harmonisation des taxes de vente. Pourtant, il n’a pas hésité à offrir de généreuses indemnités à l’Ontario et à la Colombie-Britannique sur cette question », a expliqué le député de Joliette.

« Comme si ce n’était pas assez, à Copenhague, le Canada a été pointé du doigt et perçu comme un dinosaure pour ses positions en matière de lutte aux changements climatiques. Il s’est d’ailleurs vu attribuer le prix Fossile de l’année. Le Canada a contribué à faire échouer un accord à Copenhague pour s’assurer que les pétrolières pouvaient continuer de polluer impunément. Le plus absurde, c’est que la politique du gouvernement canadien consiste à faire payer le Québec pour la pollution de l’Alberta », a poursuivi Pierre Paquette.

Harper impose des reculs au Québec
Au chapitre des mesures sociales, les conservateurs ont refusé de procéder à une véritable réforme de l’assurance-emploi qui est pourtant essentielle au bon fonctionnement et à l’égalité du régime. L’absence de mesures pour bonifier l’assurance-emploi, s’ajoute à l’absence d’un plan destiné à aider les secteurs forestier et manufacturier du Québec. Pis encore, ils ont décidé de piller près de 20 milliards de dollars dans la caisse de l’assurance-emploi pour rembourser le déficit.

Ainsi, plusieurs catégories de travailleurs, dont les jeunes, les travailleurs âgés qui perdent leur emploi, les travailleurs à statut précaire, les travailleurs forestiers et les travailleurs saisonniers, ne seraient pas admissibles aux semaines additionnelles de prestations que propose le projet de loi C-50 des conservateurs. « Par exemple, plusieurs chômeurs lanaudois, qui depuis plus de deux ans déjà sont frappés par la situation précaire de l’industrie forestière, n’auront pas accès à cette nouvelle mesure, puisqu’ils ne se qualifient pas en tant que chômeurs de longue durée.», a évoqué le député de Joliette, Pierre Paquette.

« Parlant d’assurance-emploi, je me suis joint à madame Chantale Boucher, citoyenne de ma circonscription, pour exiger que la durée des prestations de maladie de l’assurance-emploi qui est actuellement de 15 semaines soit portée à 50 semaines dans le cas de maladies graves et j’ai déposé sa pétition en Chambre, le 9 juin dernier, pétition signée par plus de 400 citoyennes et citoyens de la région de Lanaudière qui sont atteints d’un cancer ou qui ont déjà eu un cancer », a mentionné Pierre Paquette.

Les conservateurs ont ensuite relancé leur offensive pour démanteler le registre des armes à feu. Il faut espérer que Michael Ignatieff et Jack Layton prendront leur responsabilité de chef de parti en ordonnant à leurs députés de voter contre le projet de loi conservateur. Finalement, les conservateurs ont en plus fermé la porte à toutes les propositions visant à donner des suites concrètes à la reconnaissance de la nation québécoise. En fait, les conservateurs nous ont montré leur mépris en déposant quelques mois après la reconnaissance de la nation québécoise un projet de loi visant à réduire le poids politique du Québec à la Chambre des communes », a expliqué le leader parlementaire du Bloc Québécois.

Du côté des arts et de la culture, en cette année où notre région a perdu deux grands personnages, Hélène Pedneault et le père Fernand Lindsay, les conservateurs ont démontré encore une fois leur insensibilité. Pierre Paquette a donc prêté sa voix aux revendications des intervenants œuvrant dans le milieu culturel de la région, qui avaient vu leurs subventions amputées par le gouvernement Harper.

Le Bloc aura fort à faire au cours des prochains mois
« Cette dernière session parlementaire nous démontre clairement que le Bloc Québécois aura fort à faire au cours des prochains mois pour défendre les intérêts et les valeurs du Québec. Nous devrons agir autant pour infléchir la politique canadienne de lutte aux changements climatiques, que pour faire en sorte que le Québec récupère les 2,6 milliards de dollars qui lui reviennent pour avoir harmonisé sa taxe de vente, ou encore pour que l’industrie forestière obtienne l’aide dont elle a besoin. Nous reviendrons également à la charge pour empêcher Ottawa de piller l’argent des travailleuses et des travailleurs », a conclu le député de Joliette et leader parlementaire du Bloc Québécois à la Chambre des communes, Pierre Paquette.

Au plan régional, le Bloc Québécois de la circonscription de Joliette a poursuivi ses préparatifs pour faire face à la prochaine élection en désignant à nouveau Pierre Paquette comme son candidat. Finalement, le député de Joliette a déménagé ses bureaux au centre-ville pour augmenter l’accessibilité des citoyennes et citoyens aux services que son bureau dispense.

Bureau du député Pierre Paquette
371, Notre-Dame, bureau 210
Joliette (Québec) J6E 3H5
Pierre Paquette
Député de Joliette et
leader parlementaire du Bloc Québécois